Importer la liberté

Lorsque Thomas Paine a quitté l’Amérique pour la France, en avril 1787, il était pour chacun aussi heureux qu’un homme comme n’importe quel autre au monde. Son copain le plus intime, Jefferson, était ministre à Paris, et son copain génial Lafayette était l’idole de la France. Sa reconnaissance l’avait précédé et qu’il était en même temps devenu, à Paris, le centre du même cercle de savants et de philosophes qui avait entouré Franklin. Sa principale raison de se rendre immédiatement à Paris était qu’il pouvait distribuer à l’Académie des sciences sa création d’un lien de fer, et avec son verdict bénéfique, il est arrivé en Grande-Bretagne, en septembre. Il a simultanément rendu visite à sa vieille maman à Thetford, au départ avec un créateur (Ridgway), ses « Leads in the Rubicon ». Il a ensuite fait des préparatifs pour breveter sa connexion, ainsi que pour créer à Rotherham le grand style de celui-ci démontré à Paddington, respectueux de l’environnement, au centre de Londres. Il a été accueilli en Grande-Bretagne par d’éminents hommes d’État, tels que Lansdowne et Fox, et plus important encore par Edmund Burke, qui pendant un certain temps l’a fait visiter à Beaconsfield et l’a conduit dans différentes parties du pays. Il n’a pas obtenu le moindre objectif innovant, peut-être vu en Grande-Bretagne ou en France. Vers Louis XVI. il ne ressentait que de la reconnaissance pour vos solutions qu’il avait faites à l’Amérique, et envers George III. il ne ressentait aucune animosité. Son séjour de quatre mois à Paris l’a convaincu qu’il y avait presque un changement de cette nation suivant le dessein américain, à l’exception du fait que la Couronne sera pré-préparée, un compromis qu’il a accepté, offert le trône ne doit pas être hérité. Les activités en France se sont déroulées plus rapidement qu’il ne l’avait prévu, et Paine a été convoqué par Lafayette, Condorcet, et d’autres, en tant que conseiller dans le cadre de la croissance de la nouvelle constitution. Tel était le problème qui a précédé le duel politique et littéraire entre Paine et Burke, qui s’est avéré au final une énorme guerre entre le Royalisme et le Républicanisme dans les pays européens. Paine était, en France comme en Grande-Bretagne, l’inspirateur de conseils modestes. Samuel Rogers raconte qu’au début de son mode de vie, il dîna chez un ami au Royaume-Uni avec Thomas Paine, alors que parmi les toasts donnés figurait la «mémoire de Joshua», – en allusion à la conquête par le chef hébreu des rois de Canaan, et rendu d’eux. Paine a observé qu’il ne traiterait pas avec des rois comme Joshua. « Je suis du point de vue du pasteur écossais », a-t-il déclaré, « quand il a prié vers Louis XIV. » Seigneur, secoue-le dans la bouche de l’enfer, mais ne le laisse pas décliner! «  » Paine offrit alors comme son toast, « La République du Monde », – que Samuel Rogers, âgé de 20 à 9 ans, a observé être une pensée sublime. Telle était la conviction et l’espoir de Paine, avec lequel il a affronté les tempêtes innovantes qui éclatent actuellement sur la France et la Grande-Bretagne.