On peut aimer une chose, ça ne veut pas forcément dire qu’on est bon dans le domaine. La cuisine en est un parfait exemple. J’adore cuisiner. Ça ne veut en aucun ca dire que je suis doué pour autant. Du coup, j’ai voulu me perfectionner dans le domaine. Ce que j’ai fait la semaine dernière, en faisant un cours de cuisine à Aix en Provence. J’y ai découvert quelques astuces efficaces et rencontré d’autres amateurs avec qui j’ai bien échangé. Si j’ai un seul regret, c’est d’avoir été seul à ce cours. J’ai bien essayé de l’y emmener, mais elle m’a regardé de travers. Elle cuisine tellement peu que je ne suis pas sûr qu’elle sache où se trouve la cuisine dans la maison. Ce rejet très net de tout ce qui a trait à la cuisine m’a toujours paru un peu enragée. D’après elle, se mettre aux fourneaux serait une façon de se subordonner à la figure de la femme vieille France. Sa fierté le lui interdit. Selon moi, c’est assez extrémiste. Je persiste à m’occuper de la plomberie même si c’est un rôle dévolu aux hommes. Même si je respecte le combat du féminisme, on en vient à garder un positionnement absurde. Seulement, ma chère et tendre reste insensible à ces arguments. Lorsqu’elle a pris une décision, il est très malaisé de la faire revenir sur ses pas. Elle n’est pas taureau pour rien, n’est-ce pas. En tout cas, si la cuisine n’est pour vous le symbole honteux du patriarcat, ce cours de cuisine. L’ambiance y est amicale et le menu vraiment excellent. Tenez, je vous mets en lien le site où j’ai trouvé mon bonheur, si l’envie vous en dit. Pour plus d’informations, allez sur le site de cette expérience de cours de cuisine à Aix en Provence.