La simplicité des ULM

Cellule, construction fondamentale d’un avion ou d’un engin spatial, à l’exclusion de sa centrale électrique et de son instrumentation; ses parties principales comprennent donc les ailes, le fuselage, l’assemblage de la queue et les éléments à atteindre. La cellule est conçue pour résister à toutes les poussées aérodynamiques ainsi qu’aux défis imposés par le poids excessif de votre essence, de votre équipage et de votre charge utile. La plupart des cellules d’avions antérieurs étaient constituées d’un fuselage de conception en treillis construit en planches de bois massif minces ou en tubes métalliques et contreventé avec des câbles. Cette structure fondamentale garantissait la construction de l’aile, qui avait été faite de longerons avec des nervures. Les deux fuselage et ailes étaient protégés par des pores et une peau en pur coton. La conception de la cellule a été radicalement améliorée tout au long des années 1930. Le signe de la coque du fuselage aux contours aérodynamiques de tous les avions contemporains a été introduit à ce stade, et des alliages légers à haute énergie (principalement des alliages d’aluminium légers, du magnésium minéral et quelques inox et titane) ont échangé du bois et du tissu dans la cellule. Wing, en aéronautique, un profil aérodynamique qui permet d’élever un engin plus lourd que l’air. Lorsqu’elles sont positionnées plus haut que le fuselage (ailes substantielles), vol en ULM les ailes offrent un regard illimité sur la liste ci-dessous et un excellent équilibre latéral. Des ailes de parasol, placées sur des montants sensiblement au-dessus du fuselage des hydravions, aident à empêcher le moteur de gicler dans l’eau potable. Aileron, élément mobile d’une aile d’avion qui est géré depuis l’initiale et lui permet de faire rouler l’avion près de son axe longitudinal. Les ailerons sont donc utilisés principalement pour incliner l’avion pour le changement. Les ailerons ont pris de nombreuses formes au fil des ans, mais font normalement partie des avantages de fuite de l’aile, près de la pointe. Leur productivité en gestion latérale a rendu obsolète le programme de déformation des ailes des frères Wright. Pionnier de l’aviation française qui a fait des efforts importants sur les débuts d’un vol plus lourd que l’air dans les pays européens. Juste après avoir étudié la technologie sur la Sorbonne à Paris, Esnault-Pelterie a créé son planeur initial, un duplicata très difficile du planeur Wright de 1902 mais construit sans avoir la compréhension du système de contrôle des frères Wright. Pour cette raison, il a abandonné la tentative de pilotage du planeur en utilisant un processus de déformation des ailes et est devenu le tout premier chef de file de la machine aérienne à utiliser des ailerons, des zones mobiles dans le bord de fuite de l’aile, pour préserver le contrôle latéral. En 1907, Esnault-Pelterie a développé et construit un monoplan pionnier dirigé par un moteur radial à plusieurs tubes innovant dont il a créé des itinéraires atteignant 600 mètres (environ 2 000 orteils). Ses derniers types, R.E.P. N ° 2 et R.E.P. Le numéro 2-bis, incorporait de nombreuses inventions, telles que les systèmes de freinage hydrauliques. Depuis 1912, Esnault-Pelterie possède également commencé à publier et à donner des conférences sur le thème du vol en salle. Il a inventé le terme astronautique et a été coparrainant du prix R.E.P.-Hirsch pour d’importantes contributions dans le domaine.