Saccage des cultures en Somalie

Les criquets pèlerins détruisent des milliers d’hectares de cultures et de pâturages en Somalie au cours de l’attaque la plus grave de 25 ans, l’U. N. l’agence alimentaire a mentionné mercredi, et l’infestation devrait se propager davantage. Les criquets ont ruiné environ 70 000 hectares de territoire en Somalie et en Éthiopie voisine, endommageant les matériaux des repas dans les deux pays ainsi que les moyens de subsistance des zones agricoles, a indiqué le repas et l’agriculture (FAO). Un essaim moyen ruinera les plantes qui pourraient nourrir 2500 personnes pendant 12 mois, selon la FAO. La discorde et les troubles dans la plupart des régions de la Somalie rendent difficile la pulvérisation de pesticides par avion – dans lequel la FAO connue sous le nom de «gestion idéale» – est difficile, a indiqué la compagnie dans une affirmation. « L’influence de nos mesures à court terme va être limitée. » Ashagre Molla, 66 ans, père de plusieurs personnes de Woldia dans la région d’Amhara à 700 km (435 kilomètres) du nord-est de la capitale éthiopienne Addis-Abeba, a déclaré qu’il n’avait jusqu’à présent acquis aucune aide du gouvernement américain. « Je devais obtenir jusqu’à 3 000 kg de teff (une pelouse de céréales) et de maïs cette année, mais à cause des criquets pèlerins et des pluies intempestives, je n’ai acquis que 400 kg de maïs et je ne m’attends qu’à 200 kg de teff. » Ce n’est tout simplement pas même suffisant pour donner à notre famille « , a-t-il déclaré. La peste acridienne est beaucoup plus grave par rapport aux prévisions de la FAO et elle a été aggravée par des pluies excessivement fortes et des inondations dans toute l’Afrique de l’Est qui ont détruit des centaines de personnes avant plusieurs mois. Experts Les chocs météorologiques sont principalement responsables de l’évolution rapide des conditions météorologiques dans la région. Dernièrement, la capitale de la Somalie, Mogadiscio, a vu le développement des premières stations-service, supermarchés et vols aériens de la ville depuis la chute de la clé influence en 1991. Le marché principal de Mogadiscio fournit un certain nombre de produits allant des repas aux gadgets. Les hébergements continuent de fonctionner et ils sont soutenus par des milices de sécurité privée. Cependant, de grands progrès doivent s’étendre en dehors de Mogadiscio et de certaines capitales nationales, et dans la ville, la sécurité concerne l’entreprise maîtresse. Les entreprises de télécommunications offrent des services professionnels wifi dans de nombreuses principales régions métropolitaines et fournissent les frais de contact mondiaux les moins chers du continent. En l’absence d’un secteur bancaire adéquat, des services professionnels d’échange de devises / d’envois de fonds ont germé dans toute la région, traitant environ 1,6 milliard de dollars de transferts de fonds chaque année, malgré le fait que les préoccupations internationales concernant les échanges d’espèces en Somalie continuent de menacer la capacité de ces services. pour fonctionner dans les pays occidentaux du monde entier. En 2017, la Somalie a choisi un nouveau leader et a recueilli un niveau record de soutien et d’achat internationaux, un signe optimiste pour la guérison économique.

Leadership Inspirant : Guidage, Influence et Impact

Le leadership inspirant transcende la simple gestion et évolue vers une forme d’influence positive et motivante qui incite les individus à donner le meilleur d’eux-mêmes. Un leader inspirant est capable de catalyser le changement, de guider les autres vers la réalisation des objectifs et de créer un environnement où les individus se sentent valorisés et motivés. Cet essai explore les divers aspects du leadership inspirant, mettant en lumière l’importance de la vision, de l’empathie, de la communication et de l’exemple personnel.

Au cœur du leadership inspirant se trouve la capacité à articuler une vision claire et convaincante. Un leader doit avoir une compréhension profonde des objectifs à long terme de l’organisation et être capable de communiquer cette vision de manière à susciter l’enthousiasme et l’engagement des autres. La vision doit être percutante, alignée sur les valeurs de l’organisation et capable de donner un sens au travail de chacun. En partageant cette vision, un leader inspire les autres à se joindre à l’effort collectif pour réaliser des résultats exceptionnels.

L’empathie est une compétence essentielle pour le leadership inspirant. Comprendre les besoins, les préoccupations et les aspirations des membres de l’équipe crée un sentiment de connexion et de confiance. Un leader empathique est capable de soutenir ses collaborateurs dans leurs défis et de célébrer leurs succès. En reconnaissant les contributions individuelles, un leader montre aux membres de l’équipe qu’ils sont appréciés et que leur travail a un impact positif.

La communication efficace joue un rôle crucial dans le leadership inspirant. Un leader doit être capable d’expliquer clairement les objectifs, les attentes et les stratégies, tout en encourageant un dialogue ouvert et honnête. La communication bidirectionnelle permet aux membres de l’équipe de partager leurs idées, leurs préoccupations et leurs suggestions, créant ainsi un environnement de collaboration et d’innovation. Un leader qui communique de manière transparente et engageante inspire la confiance et la loyauté de son équipe.

Un leader inspirant est également un exemple personnel pour les autres. Les actions parlent souvent plus fort que les mots, et un leader qui incarne les valeurs de l’organisation et qui agit de manière intègre et responsable influence positivement le comportement des autres. En montrant l’engagement, la persévérance et l’éthique professionnelle, un leader devient un modèle à suivre, inspirant les autres à se surpasser et à contribuer de manière significative.

Une autre facette du leadership inspirant consiste à encourager la croissance et le développement des individus. Un leader doit reconnaître le potentiel de chacun et fournir des opportunités d’apprentissage et d’avancement. En investissant dans le développement personnel et professionnel de ses collaborateurs, un leader contribue à renforcer leur engagement et leur motivation. En outre, le leadership inspirant favorise la création d’un environnement où les individus se sentent soutenus et encouragés à prendre des initiatives.

En conclusion, le leadership inspirant transcende les responsabilités traditionnelles de gestion pour devenir une force puissante de motivation, d’influence positive et de guidage. Articuler une vision inspirante, pratiquer l’empathie, communiquer efficacement, incarner l’exemple personnel et favoriser le développement individuel sont autant d’aspects essentiels du leadership inspirant. Les leaders qui possèdent ces qualités sont capables de mobiliser et de guider les individus vers des performances exceptionnelles, créant ainsi un impact durable sur l’équipe, l’organisation et la société dans son ensemble. En embrassant ces principes du leadership inspirant, les leaders peuvent contribuer à façonner un avenir plus positif et prospère.

L’impact de la formulation d’un nom de domaine sur le référencement

Le libellé d’un nom de domaine est un facteur important pour identifier sa position dans les moteurs de recherche. Les techniques des moteurs de recherche prennent en compte une variété de facteurs, tels que l’importance du nom de domaine, l’ancienneté du nom de domaine et l’autorité du nom de domaine, pour classer les sites web. Ce document a pour but de découvrir comment la formulation de votre propre nom de domaine influe sur son classement dans les pages de résultats des moteurs de recherche (SERP). L’article commence par évoquer les principes de base du référencement (SEO) et l’importance des noms de sites web. Ensuite, il analyse le partenariat entre les noms de domaine et le marketing par moteur de recherche, en se concentrant sur l’impact des mots-clés dans les noms de domaine sur le classement. Enfin, il conclut par une discussion sur les implications pratiques des résultats pour les entreprises et les propriétaires de sites web.

L’internet a révolutionné notre mode de vie et les moteurs de recherche font désormais partie intégrante de notre quotidien. Nous utilisons les moteurs de recherche pour découvrir des informations, des marchandises et des services. En conséquence, les entreprises ont reconnu l’importance d’avoir une réputation en ligne, et les webmasters utilisent de plus en plus les techniques d’optimisation des moteurs de recherche (SEO) pour améliorer le classement de leur site web dans les pages de résultats des moteurs de recherche (SERP). L’un des facteurs les plus importants du référencement est sans aucun doute le nom de domaine, dont la formulation peut avoir un effet significatif sur le classement du site web. Dans cet article, nous allons découvrir la relation entre les noms de domaine et le référencement, ainsi que l’impact de la formulation d’une adresse de domaine sur son classement dans les SERP.

Un nom de domaine est l’adresse d’un site web, qui est la première chose que les clients voient lorsqu’ils visitent un site internet. Le nom de domaine est un autre élément crucial du référencement, principalement parce qu’il fournit aux moteurs de recherche des informations précieuses sur le contenu de votre site web. Les moteurs de recherche utilisent les noms de domaine pour identifier et classer les sites web, et un nom de domaine pertinent et descriptif peut aider un site web à mieux se classer dans les résultats des pages de recherche. En outre, les noms de domaine sont souvent utilisés comme texte d’ancrage dans les liens retour, ce qui peut également avoir un impact sur le classement d’un site web.

L’un des éléments les plus importants dans la formulation d’un nom de domaine est l’inclusion de mots-clés connexes. Les phrases clés sont des expressions que les consommateurs utilisent pour rechercher des informations en ligne, et les moteurs de recherche utilisent les mots clés pour identifier le contenu connexe. L’inclusion de mots-clés dans un nom de domaine peut indiquer aux moteurs de recherche que le site web est pertinent pour un sujet ou une activité particulière. Par conséquent, les sites internet dont le nom de domaine contient des mots-clés appropriés peuvent être mieux classés dans les SERP pour les mots-clés populaires.

Néanmoins, il est important de se rappeler qu’il n’est pas recommandé de bourrer les noms de domaine de mots-clés. Le bourrage de mots clés consiste à inclure de nombreux mots clés dans un nom de domaine afin de manipuler les classements des moteurs de recherche. Les moteurs de recherche peuvent détecter le bourrage de mots clés et peuvent même pénaliser les sites web pour ce procédé. Il est donc essentiel de trouver un équilibre entre l’inclusion d’expressions clés pertinentes et l’absence de bourrage de mots clés.

Un autre facteur à prendre en considération dans le choix d’un nom de domaine est sa longueur. Les noms de domaine de petite taille sont souvent plus faciles à retenir et à taper, et ils peuvent aussi être beaucoup plus faciles à marquer. Néanmoins, les noms de domaine plus longs peuvent inclure des phrases de recherche beaucoup plus descriptives et fournir plus d’informations aux moteurs de recherche sur le contenu d’un site. Il est essentiel de trouver un équilibre entre la longueur d’une adresse de domaine et sa pertinence par rapport aux informations d’un site web.

Le libellé d’une adresse de domaine est un élément essentiel du référencement, et les propriétaires de sites web devraient réfléchir à l’influence des domaines sur le classement du site internet lorsqu’ils choisissent un nom de domaine. L’inclusion de phrases clés pertinentes dans votre propre nom de domaine peut améliorer la position du site web dans les résultats des pages de recherche, mais il est recommandé d’éviter le bourrage de termes de recherche. En outre, les propriétaires de sites web doivent tenir compte de la longueur de l’adresse du domaine et trouver un équilibre entre un nom de domaine court et mémorable et un nom de domaine plus long et beaucoup plus descriptif.

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En conclusion, les propriétaires de sites web doivent examiner attentivement la formulation des noms de domaine lorsqu’ils choisissent un nom de domaine. Une adresse de site web pertinente et descriptive peut aider un site web à mieux se classer dans les SERPs, mais il est important d’éviter le bourrage de mots clés et de trouver un équilibre entre la longueur du nom de domaine et sa pertinence par rapport au contenu du site web. En tenant compte de ces facteurs, formation seo les propriétaires de sites peuvent améliorer le classement de leur site dans les pages de résultats de recherche et accroître leur visibilité en ligne.

Les avantages d’un régime à base de plantes pour la santé globale

Un régime alimentaire à base de plantes est un régime centré sur des produits alimentaires complets à base de plantes, tels que les fruits, les légumes, les produits à base de céréales complètes, les légumineuses, les fruits à coque et les graines. Ce type de régime est devenu populaire ces dernières années, et ce pour de bonnes raisons. Des études ont montré qu’une alimentation à base de végétaux présente de nombreux avantages pour la santé, notamment une réduction du risque de maladies à long terme, une amélioration de la digestion et une bien meilleure santé générale.

L’un des principaux avantages d’une alimentation à base de végétaux est sa capacité à réduire le risque de maladies constantes. Des études montrent qu’un régime alimentaire riche en aliments d’origine végétale peut réduire le risque potentiel de maladies telles que les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et certains types de cancer. La raison en est que les aliments d’origine végétale sont riches en nutriments, tels que les vitamines, les minéraux et les vitamines antioxydantes, dont il a été démontré qu’ils ont des effets protecteurs sur notre organisme.

Pour mieux comprendre les avantages d’une alimentation à base de plantes sur la fonction digestive, il est important de comprendre le rôle des fibres alimentaires dans le tractus gastro-intestinal. Les fibres sont des glucides qui ne peuvent pas être ingérés par l’organisme, ce qui signifie qu’elles traversent le système digestif de manière relativement intacte. Cela ne signifie pas pour autant que les fibres ne sont pas importantes pour la digestion. En réalité, les fibres ont plusieurs fonctions importantes dans le système digestif. Tout d’abord, les fibres aident à réguler les intestins et à prévenir la constipation. En effet, les fibres alimentaires absorbent l’eau lors de leur passage dans le système digestif, ce qui rend les selles plus molles et plus faciles à évacuer. Cela permet d’éviter les irrégularités intestinales et d’améliorer la régularité du marché.

En outre, les fibres constituent une source de nourriture pour les bactéries bénéfiques présentes dans notre intestin. Ces micro-organismes, connus sous le nom de microbiome intestinal, jouent un rôle important dans la digestion, l’absorption des nutriments et la fonction immunitaire. En fournissant à ces précieuses bactéries des aliments riches en fibres, nous pouvons favoriser la croissance de bactéries intestinales saines et améliorer la santé de l’intestin.

En outre, un microbiome intestinal sain continue d’être lié à un risque plus faible d’un certain nombre d’affections digestives, telles que les maladies inflammatoires de l’intestin (MII) et le syndrome de l’intestin irritable (SII). En effet, un microbiome intestinal sain peut contribuer à minimiser l’inflammation dans l’intestin et à promouvoir une réponse immunitaire adéquate.

Dans l’ensemble, les fibres contenues dans les aliments végétaux peuvent améliorer la digestion en régulant le transit intestinal, cours de cuisine moléculaire paris en favorisant les bactéries intestinales bénéfiques et en réduisant les risques de troubles digestifs. En incorporant davantage de produits alimentaires d’origine végétale dans notre alimentation, nous pouvons facilement favoriser un système digestif sain et améliorer notre santé et notre bien-être en général.

Outre les avantages pour la santé physique, une alimentation centrée sur la culture peut également avoir des effets positifs sur la santé mentale. Des recherches ont montré qu’un programme alimentaire riche en légumes et en fruits peut améliorer l’humeur et minimiser les symptômes de dépression majeure et de nervosité. Cela est probablement dû aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes des aliments d’origine végétale, qui ont un effet défensif sur le cerveau.

Malgré ces avantages, certains soutiennent qu’un régime à base de plantes peut être déficitaire en certains nutriments, tels que les protéines de santé et le fer. Cependant, en organisant correctement son alimentation et en faisant attention aux nutriments ingérés, il est facile d’obtenir toutes les vitamines et tous les minéraux nécessaires dans le cadre d’un régime alimentaire à base de végétaux. Les sources végétales de protéines saines comprennent les haricots, les lentilles, le tofu et le quinoa, tandis que les aliments riches en fer comprennent les légumes verts à feuilles, les noix et les produits céréaliers enrichis.

En conclusion, un régime alimentaire à base de plantes présente plusieurs avantages pour la santé, notamment une réduction de la probabilité de maladies chroniques, une amélioration de la fonction digestive et un meilleur bien-être général. Bien que certains puissent affirmer qu’un régime alimentaire à base de plantes peut manquer de certains nutriments et vitamines, il est en fait possible d’obtenir tous les nutriments nécessaires dans le cadre d’un régime alimentaire à base de plantes, à condition de bien planifier son alimentation et de faire attention à l’apport nutritionnel. En incorporant davantage de repas à base de plantes dans notre alimentation, nous pouvons améliorer notre santé et notre bien-être général, tout en réduisant notre impact sur l’environnement.

Importer la liberté

Lorsque Thomas Paine a quitté l’Amérique pour la France, en avril 1787, il était pour chacun aussi heureux qu’un homme comme n’importe quel autre au monde. Son copain le plus intime, Jefferson, était ministre à Paris, et son copain génial Lafayette était l’idole de la France. Sa reconnaissance l’avait précédé et qu’il était en même temps devenu, à Paris, le centre du même cercle de savants et de philosophes qui avait entouré Franklin. Sa principale raison de se rendre immédiatement à Paris était qu’il pouvait distribuer à l’Académie des sciences sa création d’un lien de fer, et avec son verdict bénéfique, il est arrivé en Grande-Bretagne, en septembre. Il a simultanément rendu visite à sa vieille maman à Thetford, au départ avec un créateur (Ridgway), ses « Leads in the Rubicon ». Il a ensuite fait des préparatifs pour breveter sa connexion, ainsi que pour créer à Rotherham le grand style de celui-ci démontré à Paddington, respectueux de l’environnement, au centre de Londres. Il a été accueilli en Grande-Bretagne par d’éminents hommes d’État, tels que Lansdowne et Fox, et plus important encore par Edmund Burke, qui pendant un certain temps l’a fait visiter à Beaconsfield et l’a conduit dans différentes parties du pays. Il n’a pas obtenu le moindre objectif innovant, peut-être vu en Grande-Bretagne ou en France. Vers Louis XVI. il ne ressentait que de la reconnaissance pour vos solutions qu’il avait faites à l’Amérique, et envers George III. il ne ressentait aucune animosité. Son séjour de quatre mois à Paris l’a convaincu qu’il y avait presque un changement de cette nation suivant le dessein américain, à l’exception du fait que la Couronne sera pré-préparée, un compromis qu’il a accepté, offert le trône ne doit pas être hérité. Les activités en France se sont déroulées plus rapidement qu’il ne l’avait prévu, et Paine a été convoqué par Lafayette, Condorcet, et d’autres, en tant que conseiller dans le cadre de la croissance de la nouvelle constitution. Tel était le problème qui a précédé le duel politique et littéraire entre Paine et Burke, qui s’est avéré au final une énorme guerre entre le Royalisme et le Républicanisme dans les pays européens. Paine était, en France comme en Grande-Bretagne, l’inspirateur de conseils modestes. Samuel Rogers raconte qu’au début de son mode de vie, il dîna chez un ami au Royaume-Uni avec Thomas Paine, alors que parmi les toasts donnés figurait la «mémoire de Joshua», – en allusion à la conquête par le chef hébreu des rois de Canaan, et rendu d’eux. Paine a observé qu’il ne traiterait pas avec des rois comme Joshua. « Je suis du point de vue du pasteur écossais », a-t-il déclaré, « quand il a prié vers Louis XIV. » Seigneur, secoue-le dans la bouche de l’enfer, mais ne le laisse pas décliner! «  » Paine offrit alors comme son toast, « La République du Monde », – que Samuel Rogers, âgé de 20 à 9 ans, a observé être une pensée sublime. Telle était la conviction et l’espoir de Paine, avec lequel il a affronté les tempêtes innovantes qui éclatent actuellement sur la France et la Grande-Bretagne.

Une onde de choc économique

L’OMS a également rejeté la ligne de pensée joyeuse, selon laquelle le taux de mortalité peut être bien inférieur à ce que l’on pense généralement parce que les cas bénins ne sont pas capturés. Leur point de vue est que ces cas bénins sont si peu nombreux qu’ils ne sont pas significatifs. De StatNews:
Bruce Aylward, qui a dirigé une mission internationale en Chine pour en savoir plus sur le virus et la réponse de la Chine, a déclaré que les spécialistes ne voyaient pas de preuves qu’un grand nombre de cas bénins de la nouvelle maladie appelée Covid-19 échappent à la détection …
… S’il n’y a pas un grand nombre de cas non dénombrés, la gravité observée en Chine est ce à quoi le reste du monde devrait s’attendre à mesure que le virus se déplace vers de nouveaux endroits, surtout s’il se propage au degré observé dans la province du Hubei, où l’épidémie a commencé ….
Le taux de létalité – le pourcentage de personnes infectées décédées qui meurent – se situe entre 2% et 4% dans la province du Hubei et 0,7% dans d’autres parties de la Chine, a-t-il déclaré.
Le taux inférieur en dehors du Hubei est probablement dû aux mesures draconiennes de distanciation sociale que la Chine a mises en place pour essayer de ralentir la propagation du virus. D’autres parties de la Chine n’ont pas connu l’énorme explosion de cas vus au Hubei, a déclaré Aylward.
Un taux de létalité compris entre 2% et 4% rivalise et dépasse même celui de la pandémie de grippe espagnole de 1918, qui aurait fait plus de 50 millions de morts. Même un taux de létalité de 0,7% – ce qui signifie que 7 personnes infectées sur 1 000 mourraient – donne à réfléchir. C’est sept fois le taux de mortalité lié à la grippe saisonnière, qui devrait tuer entre 290 000 et 650 000 personnes par an dans le monde.
En d’autres termes, il n’y a pas de bonnes raisons de penser que les nouvelles sur le coronavirus vont s’améliorer bientôt, sauf peut-être l’arrivée d’un temps plus chaud qui ralentit la propagation de la maladie … mais cela pourrait simplement nous préparer à un réveil à l’automne. L’absence de tests même adéquats aux États-Unis et aucune perspective de l’obtenir de si tôt, la décision de l’administration Trump d’opter pour la transparence, le coût prohibitif (pour la plupart) des tests, l’insécurité financière et le manque de jours de maladie ce qui rend également trop coûteux pour beaucoup de rester à la maison s’ils commencent à présenter des symptômes de coronavirus, rend les États-Unis soumis à une propagation plus étendue que ce qui pourrait se produire autrement.
L’absence de données suffisantes pour effectuer de solides évaluations des risques signifie qu’une fois que la sensibilisation à la maladie sera plus répandue (les lecteurs américains disent qu’ils voient beaucoup de complaisance, sauf dans les endroits proches des épidémies), cela signifie que ceux qui sont dans une position économique pour le faire prendront des mesures de protection. mesures, tandis que ceux qui ont besoin d’un chèque de paie et qui ne peuvent pas travailler à distance continueront de se présenter… à moins et jusqu’à ce que le ralentissement de leurs activités entraîne des heures et des réductions d’effectifs. Nous voyons donc qu’Amazon interdit tous les voyages non essentiels « et Nike ferme temporairement le campus de son siège social pour un nettoyage en profondeur », tandis que les ouvriers des entrepôts d’Amazon devraient maintenir leurs routines punitives, quelle que soit leur terrible sensation. Amazon semble beaucoup plus préoccupé par le coronavirus conduisant à des pénuries d’inventaire Prime Day que par le fait que ses entrepôts deviennent des clusters de coronavirus.
Et pour peser lourd sur l’évidence, les États-Unis ne sont pas bien placés pour faire face à une crise de santé publique massive. Les pauvres appels du CDC sur les kits de test remettent en cause le sens des priorités de l’agence. Comme la plupart des lecteurs le savent, ses effectifs ont été réduits sous l’administration Trump, en particulier pour les programmes de sécurité sanitaire ».
Mais le problème avec notre système de santé publique s’étend bien au-delà de Trump. Même si le CDC était bien financé et doté en personnel, il ne pouvait pas faire grand-chose. Aux États-Unis, la santé publique est une responsabilité étatique et locale. Cela garantit pratiquement que si le coronavirus devenait un problème à grande échelle, les réponses à travers les États-Unis ne seraient probablement pas coordonnées. Considérez ceci discuter de la Conférence nationale des législatures d’État:
La préservation de la santé publique a toujours été la responsabilité des États et des gouvernements locaux.
La clarté du leadership est cruciale dans une réponse fédérale, étatique et locale conjointe à tout événement qui pourrait nuire à la santé publique. L’autorité de santé publique des États découle des pouvoirs de police accordés par leurs constitutions et qui leur sont réservés par le 10e amendement à la Constitution américaine. Le fondement du pouvoir du gouvernement fédéral de prescrire une quarantaine et d’autres mesures sanitaires est basé sur la clause commerciale, qui confère au Congrès le pouvoir exclusif de réglementer le commerce interétatique et étranger.
Plus précisément, une réponse globale de santé publique pour éviter la propagation de maladies hautement contagieuses peut exiger l’isolement des personnes, la mise en quarantaine d’une communauté exposée à la maladie infectieuse ou les deux. La quarantaine se réfère généralement à la séparation des individus qui ont été exposés à une infection mais qui ne sont pas encore malades des autres qui n’ont pas été exposés à l’infection transmissible. »I En revanche, l’isolement se réfère à la ou aux péripéties des individus infectés de ceux qui ne sont pas infectés. »ii L’autorité de quarantaine primaire réside généralement auprès des services de santé de l’État et des responsables de la santé; cependant, le gouvernement fédéral a compétence sur la quarantaine interétatique et étrangère.
L’article note que le gouvernement fédéral peut prendre les choses en charge si un État le demande ou si le Fédéral juge la réponse de l’État inadéquate. Cependant, j’ai l’impression que pendant des décennies, les fédéraux ont toujours été invités; les zones sinistrées ont généralement désespérément besoin d’aide. Cependant, on peut imaginer que l’équipe Trump impose sa volonté à certaines parties de la Californie juste pour l’enfer.
De plus, le néolibéralisme et le principe de précaution ne coexistent pas heureusement. Le public est déjà conditionné à s’attendre à ce que tout vaccin contre le coronavirus ne soit pas gratuit, mais au moins, contrairement au test de dépistage de la maladie, il sera abordable ». Beaucoup ne demanderont pas de soins tant qu’ils ne seront pas désespérément malades. L’absence de diagnostic et d’isolement précoce augmentera la propagation du coronavirus.
Économie réelle et exposition aux marchés
Je ne veux pas minimiser la gravité des risques pour la santé des coronavirus. Mais en plus de cela, les personnes qui ne tombent pas malades ou qui ne présentent qu’un cas bénin peuvent finir par souffrir économiquement en raison de réductions d’heures ou de pertes d’emploi ou pour ceux qui en ont, de dommages à leur pension.
Les marchés prennent enfin le coronavirus très au sérieux, les obligations longues s’échangeant à des niveaux record et les marchés boursiers effectuant des plongées cygnes synchronisées la semaine dernière.
Mais contrairement à la crise financière, où il a été possible d’identifier les principaux moteurs, la dette immobilière et les retitrisations fortement endettées (CDO) où les risques se sont concentrés dans des institutions financières sous-capitalisées et d’importance systémique, ici, de nombreux secteurs de l’économie réelle sont sérieusement exposés: l’énergie , voyages et hôtellerie, avionneurs, constructeurs automobiles, restaurants, casinos.
Même si la presse économique vise à couvrir les actions, ce sont les niveaux élevés de déclassements et de défauts qui provoquent des crises financières. N’oubliez pas que l’ère de la bombe à points, malgré un effacement massif des valeurs des actions, n’a pas entraîné de crise en raison des limites imposées aux prêts sur marge.
Mais à la suite des mesures visant à déplacer les risques hors du secteur bancaire, il peut être plus difficile d’anticiper où les ruptures se produiront. La sagesse conventionnelle de pointe actuelle est que nous assisterons à un resserrement massif du crédit, car de nombreuses entreprises commenceront à avoir une vision bancale alors que leurs revenus diminuent et que les investisseurs sont nerveux à l’idée de prendre des risques de prêt jusqu’à ce qu’ils voient un fond à la maladie et aux dommages économiques.
Le fait que Ambrose Evans-Pritchard du Telegraph soit en pleine forme est un signe baissier. Dans son dernier article, il commence par décrire Standard & Poors et Moody’s émettant des avertissements généraux. Notez que S&P et Moody’s sont connus pour ne pas se dégrader jusqu’à ce que les obligations se négocient déjà comme si elles avaient été réduites:
Il existe des risques croissants de resserrement du crédit dans les secteurs vulnérables du marché des obligations de sociétés, ce qui pourrait faire basculer un édifice financier instable avec des niveaux d’endettement records et déclencher une réaction en chaîne dangereuse….
Moody’s a émis une alerte à la récession mondiale si le coronavirus se transformait en pandémie mondiale, considérée comme inévitable par de nombreux virologistes parmi les meilleurs au monde après des épidémies exponentielles en Corée, en Iran, en Italie et maintenant en France. L’économie était déjà fragile avant le déclenchement et vulnérable à tout ce qui ne respectait pas le scénario. COVID-19 est loin du scénario », a déclaré l’agence de notation.
Le chef de la recherche de crédit de S&P pour l’Europe et le Moyen-Orient, M. Paul Watters, a déclaré que les secteurs avec un mélange toxique de levier élevé et de faibles flux de trésorerie sont sous le microscope. Les emprunteurs de soins de santé dans la ligue à haut rendement sont les plus tendus avec un ratio dette / revenus de six fois, suivis des médias 5,5 fois.
Yves ici. Je parie que vous ne saviez pas qu’il y avait beaucoup de risque de crédit dans le secteur des soins de santé. Je dois avouer que je ne l’ai découvert que récemment en raison de recherches approfondies d’un collègue qui sont diffusées en privé. Après réflexion, il est logique que les sociétés de capital-investissement achètent depuis longtemps dans le domaine médical, à la fois en raison de la sécurité perçue des flux de trésorerie et lorsqu’elles trouvent un blocage, leur capacité à augmenter les prix.
Mais ce n’est pas seulement le PE qui joue:
L’industrie automobile européenne est également en vue. Moody’s a rétrogradé Renault en jonque le mois dernier. S&P a placé la société sous surveillance négative à BBB-, à un échelon du statut indésirable et aux côtés de GKN, de l’OHI Verwaltungs et de ZF Friedrichshafen. Le constructeur automobile numéro un mondial VW est à BBB + et n’a plus beaucoup de tampon….
Le Trésor américain, le Fonds monétaire international et les régulateurs du G20 de Bâle ont tous averti que la qualité sous-jacente de la dette à haut rendement et des prêts à effet de levier s’était fortement détériorée et était désormais plus extrême qu’avant la crise de Lehman.
Mais ce qui les inquiète encore plus, c’est une grosse tranche de titres notés BBB qui a quintuplé depuis 2008 à 3,4 billions de dollars et qui est perchée de façon précaire au bord de la falaise. Le moindre choc pourrait entraîner une cascade de déclassements.
Le chien de garde du Trésor américain (OFR) a déclaré dans son rapport de stabilité que les fonds d’investissement dotés de mandats stricts seraient obligés de vendre ces anges déchus déclassés, déclenchant des ventes de feu sur un marché gelé.
Samsonite, Vale, Suedzucker, Xerox, Western Digital, EQT, BlackRock TCP Capital, ArcelorMittal, Marks & Spencers, Abertis et l’état de la Roumanie figurent parmi les sociétés qui occupent le plus bas niveau d’investissement de BBB- et également sous surveillance négative. Nokia et Macy viennent d’être rétrogradés en ordure. Il en va de même pour Kraft-Heinz avec 32 milliards de dollars de dettes.
Même avant la peur du coronavirus, il avait déjà commencé à ressembler à une question de quand, plutôt que si, une telle crise de la dette éclaterait. Tout ce qui manquait, c’était le déclencheur ». Il doit toujours y avoir un événement déclencheur de crise et le coronavirus pourrait bien l’être.
La directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, a déclaré lors de la récente réunion des ministres des Finances du G20 à Riyad que les niveaux d’endettement élevés dans les pays et les entreprises pourraient être affectés par une augmentation des primes de risque ou un resserrement imprévu des conditions financières ».
Elle était diplomate, bien sûr, mais ses commentaires pouvaient être interprétés en anglais simple comme signifiant: les pays et les entreprises sont endettés et si les prêteurs décident à ce moment de grande incertitude d’augmenter les taux débiteurs ou de recourir à des prêts, alors nous pourrions avoir des ennuis.
Certaines économies asiatiques sont lourdement endettées:
La Chine elle-même a un ratio élevé de dette des entreprises au PIB de 157%, et après cela viennent des endroits comme Singapour, la Corée du Sud, le Japon et la zone euro. À 74%, le secteur des entreprises américain est moins dépendant de sa dette, mais cela reflète en partie l’énorme PIB de ce pays.
En ce qui concerne la dette des ménages, la Corée du Sud est bien en tête avec des emprunts équivalant à 95% du PIB (et en hausse), tandis que Hong Kong se classe deuxième en Asie avec un ratio de 77% et la Malaisie troisième avec 68%. Ailleurs, les ménages britanniques sont accros à l’endettement à hauteur de 84%.
Les entreprises publiques représentent 35% des emprunts des entreprises chinoises, de sorte qu’elles pourraient être facilement soutenues. Les autres seraient plus compliqués. La première étape est apparemment déjà en cours, la zombification de la dette en faisant prétendre aux banques que les mauvais prêts ne sont pas mauvais. Nous avons vu ce livre de jeu au Japon. C’était un tel échec que les Japonais ont pris la mesure inhabituelle dans les premières phases de la crise en disant à l’Occident que leur plus grande erreur n’était pas d’obliger les banques à reconnaître les pertes sur prêts et à faire face aux retombées. Même si les banques prétendent que les pertes n’existent pas, elles finissent toujours par hésiter à accorder plus de crédit. De Bloomberg:
Les régulateurs financiers chinois permettront aux prêteurs du pays de retarder la reconnaissance des créances douteuses des petites entreprises ébranlées par l’épidémie mortelle de coronavirus, accordant un sursis temporaire à des milliards de yuans de dette.
Les petites et moyennes entreprises qualifiées à l’échelle nationale dont le principal ou les intérêts sont dus entre le 25 janvier et le 30 juin peuvent demander un report à la fin du deuxième trimestre, a annoncé dimanche le China Banking and Insurance Regulatory dans un communiqué conjoint avec la banque centrale. (1er Mars). Dans la province du Hubei, le centre de l’épidémie, la dérogation s’applique à toutes les entreprises, y compris les grandes entreprises, selon le communiqué.
Les banques chinoises prennent des mesures extraordinaires pour éviter de reconnaître les créances douteuses, cherchant à se protéger et à protéger les emprunteurs à court d’argent des retombées économiques de l’épidémie. Les régulateurs ont dit aux prêteurs de ne pas rétrograder les prêts en cas de paiement en souffrance ou de signaler les défauts de paiement au système centralisé de notation du crédit du pays avant la fin du mois de juin, selon le communiqué.
Pour l’Occident, deux positions à surveiller sont les positions d’obligations indésirables et les obligations de prêts garantis. Les banques détiendraient probablement certains stocks de chacune. Les pertes d’obligations de prêts garanties par la crise n’ont pas été terribles (les banques ont également joué à des jeux pour les sous-déclarer), mais elles étaient généralement considérées comme ayant subi ~ 15% de pertes, et elles ont rebondi grâce à la demande de liquidité libérale de la Fed. La première idée est que les CLO pourraient subir de plus grands coups cette fois-ci parce que de nombreux secteurs industriels différents pourraient couler en même temps. Et un plus grand nombre des prêts sous-jacents sont couverts », ce qui signifie plus junk, donc ils auront également moins de valeur en période de stress.
Nous et d’autres avons mis en garde contre un autre point de défaillance possible: les contreparties centrales dérivées. Dans un article de 2018, que j’espère que vous lirez dans son intégralité, les mesures post-crise n’ont pas réussi à maîtriser les risques dérivés:
Le remède post-crise mis en place en 2009 consistait à exiger que les transactions soient compensées par des contreparties centrales qui assumeraient le risque de crédit des acheteurs et des vendeurs. Mais comme le soulignait alors l’expert en dérivés Satyajit Das et d’autres (y compris votre humble blogueur), tout cela n’a été que de déplacer ce risque hors des banques et des grands acteurs financiers à effet de levier comme les hedge funds, et dans les contreparties, qui elles-mêmes sont trop grandes pour échouer. Et même s’il est vrai qu’une contrepartie centrale réduira les expositions globales au crédit, comme Das l’a expliqué à plusieurs reprises, il existe un grand écart entre la théorie et la pratique….
Ainsi, la conclusion de haut niveau est que les PCC sont en théorie une amélioration par rapport au vieux statu quo, mais ils doivent être bien mis en œuvre pour tenir leur promesse. Plus important encore, ils doivent disposer de tampons de capital suffisamment solides. Même alors, ils ne sont pas une solution miracle.
Maintenant, mis à part l’avertissement de John Dizard du Financial Times, il y avait lieu de s’inquiéter de la motivation de créer des contreparties centrales, en ce sens qu’il s’agissait de réduire le problème des trop gros pour échouer ». En d’autres termes, compte tenu de la réduction limitée et conditionnelle du risque qui en résulterait, l’idée de transférer plus de risque de crédit aux contreparties centrales était plus que toute autre chose pour résoudre un problème politique: faire sortir le gouvernement du fournisseur de liquidité du jeu de dernier recours…
Mais un PCC insuffisamment capitalisé n’est qu’une autre entité trop grande pour faire faillite ». Et comme les contreparties centrales sont privées, les participants seraient motivés à ce que les contreparties centrales manquent de ressources, car des marges plus élevées signifient des coûts de transaction plus élevés et donc des volumes de négociation plus faibles. Et bien que personne n’admette cela, les banquiers savent très bien qu’aucun régulateur financier n’est disposé à laisser les marchés s’emparer de notre brave nouveau monde du crédit basé sur le marché, par opposition au crédit basé sur les prêts bancaires.
Un autre effet de la crise de l’après-gouvernement pour sortir le crédit du risque a été de placer davantage les mains des investisseurs. Ces prêts à effet de levier utilisés pour financer des opérations de capital-investissement, qui sont souvent regroupés dans les obligations de prêt garanties susmentionnées, se retrouvent souvent dans des fonds de crédit gérés par des sociétés de capital-investissement. Tout comme avec le capital-investissement, les investisseurs dans ces fonds de crédit sont les fonds de pension publics, les fonds souverains, les fondations et fondations, les fonds de pension privés et les assureurs-vie. Des gestionnaires de fonds comme BlackRock, Fidelity et Vanguard les achètent également pour leurs fonds. Le Financial Times rapporte que ces gestionnaires de placements sont déjà ébranlés par les retraits de leurs fonds. En revanche, les investisseurs dans les fonds de crédit de capital-investissement ne peuvent pas liquider, ils devront donc prendre leur forfait.
Un gros problème que des commentateurs astucieux comme Nouriel Roubini et Ambrose Evans-Pritchard ont discuté est que la Fed ne peut pas résoudre une véritable crise économique. Je vous en prie, dites ce que peut faire une banque centrale pour compenser les interdictions généralisées des voyages d’affaires, qui ont frappé les vols internationaux de classe premium particulièrement lucratifs? Ou le fait que les restaurants dans des villes comme New York sont en grande partie désertes? Lorsque les heures et les emplois des employés des restaurants et des hôtels baissent (pour commencer), vous verrez des répercussions sur les cartes de crédit, les prêts automobiles et les dettes des étudiants. Seules les dépenses fiscales peuvent compenser la perte de revenus des entreprises et les États-Unis y sont allergiques, sauf sous forme de réductions d’impôts pour les riches.
L’Italie est sur la bonne voie, bien que l’allégement fiscal soit moins qu’une idée que les subventions directes aux travailleurs et que le montant semble trop faible. Mais il est contraint par les règles budgétaires de l’UE. Du Financial Times:
Le ministre italien de l’Economie, Roberto Gualtieri, a déclaré dimanche que le gouvernement allait introduire des crédits d’impôt pour les entreprises qui ont signalé une baisse de 25% de leurs revenus, ainsi que des réductions d’impôts et des liquidités supplémentaires pour le système de santé.
Le paquet représentera 0,2% du PIB, a-t-il déclaré à La Repubblica, et viendrait s’ajouter à 900 millions d’euros de mesures dévoilées vendredi pour les régions les plus touchées.
Rome demandera simultanément à Bruxelles l’autorisation d’augmenter le déficit budgétaire pour cette année, a annoncé le Trésor ce week-end.
L’Italie mérite le mérite d’avoir agi rapidement sur les fronts de la santé et de l’économie réelle. Les États-Unis sont susceptibles de payer pour leur attitude dilatoire dans la vie et dans le trésor.
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Question non économique. Beaucoup de gens ici discutaient de leurs plans de préparation la semaine dernière, etc.
Les gens se sentent-ils plus ou moins inquiets après les nouvelles des derniers jours? C’est-à-dire, 2 décès aux États-Unis, une maison de soins infirmiers à Seattle en lock-out, des tendances de propagation.
Je voulais glaner un peu d’optimisme dans le fait que nous (les États-Unis) testons plus et que j’espère que cela s’éteindra au printemps… .. mais je ne peux pas.
Pour être pris en compte d’abord et avant tout sur la base d’une petite taille d’échantillon, mes sondages du week-end et d’aujourd’hui ont mis en évidence la dichotomie en réponse à COVID-19, qui, on pourrait le deviner, à la classe et au revenu / actifs.
Dans le cercle raisonnablement bien nanti de ma belle-mère, les préoccupations n’étaient pas liées à la possibilité de devoir s’isoler. La plupart avaient de grands congélateurs / armoires de magasin et, étant de la génération immédiate de l’après-guerre, avaient tendance à les garder bien remplis, simplement parce que c’était ainsi qu’ils avaient été élevés. Les non-résidents américains ne savent peut-être pas en quoi les perspectives d’un Européen typique seront probablement différentes de celles d’un résident américain de plus de 60 ans, par exemple.
Cette génération connaissait, ou connaissait de première main des gens qui avaient connu des pénuries et des rationnements en temps de guerre. Il est devenu ancré que, ce que vous aviez en main aujourd’hui, vous pourriez ne pas être en mesure d’obtenir demain. Donc, vous avez mis les choses en place et supposé que vous ne pourriez pas être réapprovisionné pendant au moins une semaine, peut-être plus longtemps.
Et s’ils devaient dépenser 100 à 200 £ supplémentaires pour acheter des denrées alimentaires, ils le pourraient et le feraient, sans aucun problème pour trouver ce genre d’argent. Ils grommelaient, bien sûr, mais rien de plus. La plupart étaient plus préoccupés par les voyages. Presque tous avaient réservé des vacances en croisière, la plupart devant partir dans quelques mois, une dans quelques semaines, et se demandaient s’ils seraient en mesure de voyager, s’ils devaient voyager, qui aurait le dernier mot pour savoir s’ils  » d pouvoir annuler et obtenir un remboursement. C’est facile de dire le premier problème mondial »mais en termes de stress et d’anxiété, c’est ce qui a causé la plupart de ce que j’ai vu.
Il est important de noter que la plupart, sinon tous, avaient des réseaux familiaux et sociaux auxquels ils pouvaient faire appel. Et, étant le Royaume-Uni, ce n’était pas comme si ces réseaux étaient répartis à des centaines ou des milliers de kilomètres. La plupart avaient de la famille en quelques heures de voyage et n’étaient pas tributaires des vols. Encore une fois, c’est probablement là que les perspectives européennes différeraient de celles des États-Unis.
De retour à mon propre cercle restreint de la classe moyenne / moyenne ou de la classe ouvrière qualifiée, le GFC a produit un véritable changement radical dans la façon dont il réagirait à un revers économique. J’ai été choqué, mais cela en dit plus sur ma propre éducation protégée et conservatrice / conventionnelle, sur ce que ce groupe pourrait non seulement faire, mais dans certains cas, il avait fait. Confrontés à une baisse significative des revenus (comme la moitié d’un couple sans emploi ou des personnes sous contrat ne se renouvelant pas pendant, disons, six mois), tous avaient au moins mené une esquisse-réflexion dans la mesure où ils l’avaient fait. cesser de payer tous les remboursements de la dette des consommateurs, à l’exception du loyer ou de l’hypothèque (c’est donc les cartes de crédit (bien qu’ils fassent probablement le paiement minimum dans certains cas), les prêts personnels, les prêts automobiles, les services d’abonnement à la télévision, les contrats de téléphonie mobile, etc.). En effet, ils exigeraient leur propre renflouement (quoique temporaire) et si les prêteurs insistaient pour les poursuivre devant les tribunaux, l’expérience (dans certains cas) avait montré qu’à court ou même à moyen terme, il n’y avait pas grand-chose inconvénient d’infliger un prêteur cram-down. Bien sûr, ils ruineraient leur crédit. Mais c’était une canette qui pouvait être expulsée sur la route.
Comme je l’ai dit, j’ai été plutôt séduit par la nonchalance occasionnelle (et, semble-t-il, déjà pratiquée) à un défaut sélectif volontaire. J’aurais ressenti une honte sociale et, faute d’une meilleure expression, être moralement déficient même à la perspective de ne pas pouvoir honorer mes engagements financiers. Cette suspension du contrat social (ou peut-être financier) a évidemment suivi le chemin du dinosaure il y a 10-15 ans.
Les répercussions de cette situation sur les prêteurs dépendent de leur capacité, à leur tour, d’être supportée par leurs sources de financement. Mais à tout le moins, vous obtiendrez des dépréciations d’actifs. À mon avis, ce qui a surpris tout le monde à la suite du GFC, c’est à quel point les gouvernements étaient prêts à renflouer le secteur financier.
Dans mes cercles, la plupart des gens ne se préoccupent que de leurs vacances et de la façon dont ils se débrouilleront avec des enfants enfermés pendant quelques semaines si les écoles ferment. Il y a eu un peu de thésaurisation (Aldi et Lidl sont vendus principalement en conserve), mais pas beaucoup. Il y a un fort sentiment de «eh bien, ce sera mauvais, mais ce sera pire dans d’autres pays, nous allons donc nous débrouiller). L’histoire en Irlande de la réponse aux crises est de prendre un bateau / vol pour les États-Unis ou l’Australie. Je ne pense pas que les gens se soient rendu compte que ces options ne sont pas nécessairement les meilleures.
La dette est intéressante au Royaume-Uni, où je pense que c’est bien pire qu’ici (surtout parce que les banques ne peuvent pas le faire depuis la GFC). Je sais qu’il y a toujours eu beaucoup d’inquiétude au sujet du type de quasi-dette dans le système britannique dont les gens peuvent s’éloigner, comme les voitures de location, etc. La peur a toujours été une vague de non-paiement. Je pense que nous pourrions être sur le point de voir ce qui se passera si une proportion importante de la population cesse de rembourser.
Certains employés de bureau le peuvent. De nombreux bureaux sont économiques dans la façon dont ils distribuent la capacité de travailler à domicile – ont tendance à être orientés vers les employés à plus long terme, les plus qualifiés et les enfants qui s’occupent de mon expérience. Ce n’est pas comme si un membre du personnel pouvait décider par lui-même de travailler à domicile; c’est aux préférences de la direction d’accorder le privilège à la minorité.
Là encore, je n’ai pas travaillé en informatique, c’est donc très probablement un jeu de balle différent.
Cela dépend si vous avez de la famille au Royaume-Uni. Les personnes nées à l’étranger que je rattrape sont nettement plus inquiètes que les Britanniques natifs. Nous n’avons pas de réseaux familiaux sur lesquels nous rabattre si nous tombons malades (ou si l’un des parents tombe malade et vous devez vous occuper seul de l’enfant en quarantaine – amusez-vous avec un enfant de moins de 5 ans, PAS).
Mais les grandes banques s’inquiètent définitivement. Je parlais avec mon Disaster Recovery Manager (DSM) ce matin et ils s’attendent à ce que nous soyons renvoyés chez nous dans les 2 prochaines semaines, car il est très évident que cela ne va pas disparaître et ne fera qu’empirer. Ma firme m’a également dit de ne pas aller à une conférence la semaine prochaine (à Londres) et de ne pas aller à une réunion du Parti travailliste (avec une moyenne d’âge de 60 ans – sans blague) mercredi. DSM a été choqué que plus de 60 ans ne fassent pas déjà une quarantaine partielle sur eux-mêmes, car ils courent un risque très élevé. Le DSM me demande de m’assurer que mon équipe peut travailler à domicile pendant une longue période (une journée sur l’iPad est une chose – 1 à 2 semaines nécessitent un ordinateur portable ou de bureau pour fonctionner correctement).
Aussi – question rapide: pouvons-nous appeler cela le virus OK Boomer?
C’est un point de données très sous-estimé – au sein de la hiérarchie d’entreprise / hiérarchie, votre place sur l’échelle est un déterminant de ce que, exactement, être capable de travailler à domicile »signifie en réalité.
Pour les utilisateurs de niveau intermédiaire comme moi, nous avons des ordinateurs portables à grand écran et un VPN, donc je me suis assis ici à me demander de quoi il s’agit, car ce n’est pas un vrai changement. Les gens un peu plus bas qui font un travail utile et productif qui doit être fait en quelque chose comme en temps réel se retrouvent coincés avec BYOD (Bring Your Own Device), qui est généralement un iPad ou même un iPhone en réalité. Vous ne pouvez pas faire grand-chose sur le plan de la productivité pendant longtemps.
Donc, les gens qui gardent vraiment le spectacle sur la route peuvent ne pas avoir les outils dont ils ont besoin pour y parvenir.
Pas de changement.
J’ai eu un sentiment d’effroi, de quelque chose d’invisible et de terrible qui m’a manqué. Depuis le début de l’année dernière sans pouvoir l’épingler sur quelque chose de spécifique, juste quelques ombres comme la météo « rupture de stock aléatoire » de choses qui ne sont jamais en rupture de stock, la farce qu’il devient un peu trop évident que le seul Le but autorisé pour Civilization est de faire augmenter les prix des actifs d’une manière ou d’une autre.
Les événements qui se déroulent maintenant sont en quelque sorte ce à quoi on s’attendait déjà. En raison du virus, l’échec du leadership occidental deviendra d’une évidence caricaturale. Si nous faisons quelque chose avec cela, nous pourrions même y arriver, si des forces plus sombres sont les premières à saisir le ballon et à courir avec, eh bien, nous ne le ferons pas.
L’épidémie du virus Corona a en quelque sorte un potentiel révolutionnaire: son groupe cible »sont des personnes de plus de 50 ans qui voyagent beaucoup et vont à de nombreuses réunions -> Des gens comme moi, le segment des PDG, des VIP comme Poutine, Erdogan, Donald Trump, etc. (Peut-être que tout un tas de fantassins Tunberg, Brexiteer et Climate Denier qui font des croisières et des voyages à forfait égyptiens en auront »aussi, assez pour déplacer les majorités politiques, j’imagine).
Maintenant, la phase risquée que je vois, c’est que pour que les gagnants gagnent, ils doivent se retrouver avec tous les atouts.
Ce qui veut dire qu’ils vont faire quelque chose de stupide maintenant parce que les pré-virus qu’ils avaient tout le temps dans le monde, les post-virus qu’ils ne connaissent pas, ils pourraient encore les avoir, ils pourraient même déjà les avoir, donc ils doivent faire leur bouge les uns les autres se cache maintenant avant qu’il ne soit trop tard.
Par conséquent, nous verrons maintenant beaucoup de stupidité de leadership brutale (il suffit de regarder la Syrie et la Turquie), sans parler du fait que tous les religieux verront les signes »et dérailleront, au moins pour toute l’année 2020 et au moins jusqu’à quelqu’un prépare un vaccin!

Des avions gigantesques

Les avions-cargos – qu’ils soient utilisés dans la sphère privée, les services militaires ou la sphère commerciale – sont des automobiles à ailes réparées qui ont généralement été conçues pour le transport de marchandises ou ont déjà été transformées à partir d’avions standard. Les avions de transport possèdent généralement une soute spécialisée qui peut stocker environ 150 mètres cubes (plus de 5 000 pieds cubes) de fret, située au fond de l’appareil. Les avions de fret dédiés n’ont pas besoin de chaises ou de certains des autres équipements des vols industriels – cela dit, leur conception est bien plus qu’un avion de voyage évidé.

Afin d’utiliser efficacement l’espace disponible, le plancher est bordé d’un chemin et de rouleaux numériques qui permettent de faire rouler les palettes préemballées aussi loin que possible, sans avoir besoin d’un chariot élévateur. De grandes portes de quai de fret sont installées pour permettre le passage de produits plus volumineux et, dans certains bons exemples, comme le Boeing 747-400, la partie nasale se soulève jusqu’à permettre aux articles particulièrement volumineux de passer avec succès le long du corps entier de l’avion. Compte tenu des besoins croissants en matière de fret aérien, les avions dotés de capacités de transport massif, comme l’Airbus A300-600 Extremely Transporter (également appelé Beluga), deviennent la norme.

Mais il ne suffit pas d’augmenter les dimensions de l’avion. Pour qu’un avion de fret puisse transporter efficacement et en toute sécurité son poids considérable, les plus gros avions du monde il faut concevoir un certain nombre d’adaptations au style aviaire dans son ensemble. Par exemple, les ailes et la queue sont construites plus haut pour permettre au fret de s’asseoir près du sol et pour faciliter le chargement ; le fuselage est beaucoup plus grand ; et – un peu comme les véhicules de produits lourds – les avions cargo comprennent généralement un plus grand nombre de roues pour supporter leur poids à l’obtention.

Les avions de fret sont un élément crucial du transport mondial. Ils sont utilisés pour déplacer des marchandises et du fret, tels que des articles périssables et des machines, sur de longues distances. Les avions cargo sont généralement beaucoup plus grands que les avions de transport, car ils ont besoin de plus de volume pour stocker le fret. Le plus grand avion cargo de la planète est certainement l’Antonov An-225 Mriya (qui signifie « rêve » en ukrainien). Cet avion a été développé par l’Union soviétique dans les années 1980 pour transporter les composants de leur navette spatiale de la végétation de fabrication aux sites de production. L’Antonov An-225 mesure 84 m de long et a une envergure de 88,4 m – ce qui le rend environ deux fois plus grand qu’un Boeing 747 jumbo jet ! Il peut même transporter des cargaisons allant jusqu’à 250 tonnes.

Un autre des plus gros avions cargo de la planète est le Boeing 747-8F. Il a été développé par Boeing en 2011 et peut transporter jusqu’à 130 tonnes de marchandises. Cet avion cargo a également une envergure de 68 m et une longueur de 76 m, ce qui en fait l’un des plus grands avions cargo du monde. Ces avions cargo sont essentiels pour transporter des marchandises dans le monde entier tout en étant capables de respecter des délais et des budgets restreints, ce qui permet de maintenir le commerce mondial en bon état. Sans eux, un certain nombre de nos produits quotidiens – nourriture, vêtements, appareils électroniques et autres – mettraient beaucoup plus de temps à être fournis. En sachant à quoi servent les avions cargo et ce que sont certains des plus gros avions du monde, nous pouvons beaucoup mieux apprécier l’importance des avions cargo dans le transport mondial. Sans les avions cargo, notre vie quotidienne serait bien différente aujourd’hui. Les avions cargo permettent d’acheminer rapidement des marchandises d’un point à l’autre de la planète afin que chacun puisse accéder à ce dont il a besoin ou envie, quel que soit l’endroit où il se trouve. C’est pourquoi les avions cargo restent un élément essentiel du commerce mondial et des réseaux de transport.

Comment évaluer efficacement la santé de la batterie dans les véhicules électriques

L’évaluation de l’état de santé des batteries des véhicules électriques est essentielle pour un certain nombre de raisons. Tout d’abord, la batterie est le composant principal d’une voiture électrique, et son état de santé affecte directement la sécurité et les performances globales de la voiture. Si la batterie ne fonctionne pas correctement, le véhicule risque de se vider de son énergie, Easee borne de recharge de voiture ce qui peut être dangereux pour le conducteur et les passagers. En outre, un mauvais fonctionnement de la batterie peut constituer un risque pour la sécurité en augmentant le risque de flamme ou d’explosion.

Deuxièmement, la santé de la batterie a également un impact sur les performances globales du véhicule. Une batterie en bonne santé devrait être capable de conserver une charge pendant une plus longue période, ce qui permet à l’automobile de voyager plus loin avec une seule charge. Une batterie qui ne fonctionne pas correctement peut avoir un rayon d’action plus faible et nécessiter des recharges plus régulières. Cela peut s’avérer très gênant pour le conducteur, surtout s’il doit parcourir de longues distances.

Troisièmement, l’état de santé de la batterie a également un impact sur la longévité de la voiture. Une batterie qui ne fonctionne pas correctement peut avoir une durée de vie plus courte, ce qui signifie qu’elle devra être remplacée plus souvent. Cela représente souvent un coût important pour le propriétaire du véhicule.

Enfin, en évaluant l’état de santé de la batterie, il est vraiment possible de déterminer les problèmes éventuels à un stade précoce, avant qu’ils ne conduisent à une panne. Cela permet au propriétaire du véhicule de prendre des mesures proactives pour entretenir la batterie et prolonger sa durée de vie. En déterminant et en traitant les problèmes de batterie dès le début, il est possible de réduire le risque de défaillance et d’améliorer l’efficacité et la sécurité du véhicule électrique.

En tant qu’élément principal d’une voiture électrique, l’état de santé de la batterie de préhension a un impact étroit sur les performances de sécurité de la voiture électrique. Si l’état de sous-santé n’est pas identifié et traité à temps, il peut provoquer une panne de la batterie de traction, poser un risque pour la sécurité et entraîner des dommages matériels pour le conducteur et les voyageurs. Cette recherche a utilisé des méthodes basées sur les données pour identifier les 2 types typiques d’état de sous-bien-être. Pour le premier type d’état de sous-bien-être, la technique du coefficient de corrélation interclasse (ICC) a été utilisée pour déterminer s’il y avait une incohérence entre la tension de la batterie solitaire et la tension générale du groupe de batteries. Pour déterminer la limite, la valeur ICC de chaque voiture dans différentes conditions de fonctionnement a été examinée à l’aide de diagrammes en boîte, et un seuil statistique ICC de 0,805 a été utilisé comme norme pour déterminer le premier type de sous-bien-être.

Pour le deuxième type de condition de sous-bien-être, le classement Z ainsi que la technique de la zone différentielle ont été mélangés pour déterminer si la tension de la cellule unique s’écartait ou non de la tension globale de votre batterie. Une batterie dont la région différentielle de tension dépasse la plage de vous ± 3s est considérée comme utilisant une condition de sous-maladie. Les résultats révèlent que les deux méthodes peuvent évaluer avec précision le type d’état de sous-bien-être d’une seule batterie. De plus, en combinant les informations de la procédure de 30 jours de la voiture, nous pourrions calculer la fréquence de l’état de sous-maladie de chaque batterie et considérer les batteries individuelles avec une fréquence élevée comme un élément important dans les opérations futures de la voiture.

Cette étude cherche à savoir comment identifier et évaluer l’état de santé des batteries des véhicules électriques. Ils utilisent normalement des méthodes axées sur l’information pour déterminer deux types d’allégations de « sous-bien-être » qui pourraient indiquer un problème avec la batterie. La toute première méthode consiste à examiner la cohérence de la tension d’une seule batterie par rapport à la tension générale de l’ensemble des batteries, en utilisant un seuil statistique. La méthode suivante examine si la tension d’une seule cellule s’écarte ou non de la tension générale de l’ensemble de la batterie. L’étude a révélé que chacune des méthodes permettait de déterminer les problèmes potentiels des blocs de batteries, et que le fait de vérifier la fréquence de ces états de sous-bien-être pouvait aider à identifier les batteries qui pourraient nécessiter une attention ultérieure. En termes d’effet sur les blocs de batteries des véhicules, l’étude suggère qu’en utilisant ces méthodes, il est vraiment facile d’identifier les problèmes potentiels des blocs de batteries des véhicules à un stade précoce, avant qu’ils ne conduisent à une défaillance, ce qui peut améliorer la sécurité et les performances des automobiles électriques.

Quand le tourisme est vital

le tourisme joue un rôle vital en Afrique du Sud, avec des avantages couvrant les secteurs économique, socioculturel et environnemental. Selon un rapport du World Travel and Tourism Council (WTTC), la contribution totale du tourisme au produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique du Sud était de 402 milliards de rands en 2016 (9,3 % du PIB) et devrait augmenter de 2,5 % pour atteindre 412 rands. 2 milliards (9,4% du PIB) en 2017. La croissance devrait augmenter de 4,2% par an pour atteindre 624,2 milliards de rands d’ici 2027, soit 11,5% du PIB.

En 2016, la contribution du secteur du tourisme à l’emploi dans le pays était de 1,5 million d’emplois, soit 9,8 % de l’emploi total en Afrique du Sud, et la croissance devrait atteindre 6,7 % en 2017. Essentiellement, cela signifie que le secteur du tourisme contribuera à 1,6 million d’emplois, soit 10,2 % de l’emploi total, et ce n’est en aucun cas un petit pourcentage. D’ici 2027, les arrivées de touristes internationaux en Afrique du Sud devraient totaliser 19 millions, avec une contribution de 271,3 milliards de rands et une augmentation de 7,3 %.

Avec autant de potentiel de revenus, l’industrie du tourisme en Afrique du Sud a été décrite comme un potentiel non plafonné. Josiah Montsho, directeur général du Pepperclub Hotel & Spa dans le CBD du Cap, est encouragé par l’augmentation du nombre de passagers transitant par l’aéroport international du Cap. En 2016, l’aéroport a été visité par un nombre record de 10 millions de passagers. Il y a eu une augmentation de 8 % en glissement annuel en 2016, avec plus de 500 000 visiteurs rien qu’en décembre. Cela contraste fortement avec le déclin lamentable de 2015, qui pourrait être le résultat de réglementations strictes en matière de visas et de la confusion concernant les certificats de naissance non abrégés.

« Après avoir connu la plus forte baisse en six ans en 2015 en raison des changements apportés aux politiques de visa et d’immigration, l’industrie a connu une reprise exceptionnelle », a fait remarquer Montsho.

Certaines des principales attractions du Cap ont répertorié un nombre record de visiteurs au cours de la haute saison, notamment Groot Constantia, Cape Point dans le parc national de Table Mountain, les jardins botaniques nationaux de Kirstenbosch, Robben Island et Table Mountain. Chemin de câble aérien.

« Alors que l’Afrique du Sud offre aux voyageurs internationaux une variété d’expériences à un prix abordable, il n’est pas surprenant que le pays ait rapidement retrouvé sa popularité. Nous pouvons nous attendre à ce que cette tendance se poursuive dans les années à venir – avec d’autres développements prévus pour attirer une gamme de voyageurs sur nos côtes pour les affaires et les loisirs. » ajouta Montsho.

Western Cape Economic Development MEC, Alan Winde a récemment révélé qu’il y a de nouveaux développements en cours qui attireront plus de visiteurs et créeront des milliers d’emplois pour les habitants, comme une nouvelle piste cyclable touristique et une route Madiba Legacy. Des itinéraires de vol supplémentaires ont été attribués au succès de villes comme Le Cap et Durban, King Shaka ayant traité 2,1 millions de voyageurs en 2016. La demande écrasante pour un itinéraire toute l’année vers Cape Town a conduit Lufthansa à célébrer récemment son nouveau vol direct toute l’année. entre Francfort et Le Cap. Le projet a été mis en œuvre pour améliorer les voyages aériens en provenance d’Allemagne, qui est le deuxième groupe de visiteurs étrangers en Afrique du Sud après le Royaume-Uni, avec 170 000 touristes allemands chaque année. Il y a environ 250 000 Allemands vivant en Afrique du Sud, avec environ 600 sociétés allemandes cotées, et la décision de Lufthansa contribuera à favoriser les liens culturels entre les pays. Emirates a ajouté un troisième vol quotidien entre Le Cap et Dubaï, et British Airways a trois nouveaux vols entre Gatwick et Le Cap. Johannesburg est toujours la première région de trafic aérien, avec une croissance à OR Tambo qui a traité près de 20,4 millions de passagers en 2016, soit le double de celle du Cap.

Le tourisme emploie 204 000 personnes dans le Cap occidental, et le gouvernement du Cap occidental vise à ajouter un autre

100 000 emplois dans le cadre de la stratégie de croissance du Projet Khulisa. Winde a souligné qu’un facteur clé de la croissance du tourisme dans la région est de faciliter les déplacements des gens.

« Depuis juillet de l’année dernière, cette capacité supplémentaire a généré 3 milliards de rands en dépenses touristiques pour le Cap occidental. Trois mille emplois sont soutenus par chaque vol long-courrier régulier et pour chaque augmentation de 10 % du nombre de passagers, l’économie régionale croît de 2 %. Ces chiffres illustrent la valeur d’un accès aérien accru », développement du tourisme a déclaré Winde.

Enver Duminy, PDG de Cape Town Tourism, a décrit Cape Town comme « devenant vraiment une destination 365 » – c’est-à-dire ouverte aux affaires toute l’année et une, qui a réussi à lutter contre la saisonnalité redoutée du tourisme. Une partie du succès peut être attribuée à la campagne de marketing « Hello Weekend » et à la série de vidéos « Love Your Neighbourhood », qui présente les banlieues de la ville et encourage les visiteurs à « voyager comme un local ».

« Environ 4,5% de la main-d’œuvre totale, plus que celle employée dans le secteur minier, est dans le tourisme. Pour chaque R100 produit par l’économie sud-africaine, R3,10 était le résultat du tourisme, soit 3,1% de l’économie. Agriculture n’a contribué que de 2,40 rands pour 100 rands, le tourisme est donc plus important que l’agriculture. Duminy mentionné.

Selon le réseau mondial d’agences de voyages de luxe, le rapport 2017 Virtuoso Luxe, qui prévoit les développements émergents en matière de voyages, a classé l’Afrique du Sud comme la première destination mondiale pour l’aventure. L’Afrique du Sud a également reçu la deuxième place pour la meilleure destination mondiale et la quatrième pour la première destination émergente. Le rapport indique que «les voyageurs recherchent des aventures dans des zones moins explorées et que l’exploration de nouvelles destinations a été la principale motivation de voyage de 2017. Les voyageurs d’aujourd’hui recherchent des expériences actives adaptées à leurs intérêts et à leurs capacités, et s’aventurent partout dans le monde pour les trouver.


Après avoir connu la plus forte baisse en six ans en 2015 en raison des changements apportés aux politiques de visa et d’immigration, l’industrie a connu une reprise exceptionnelle. »
Le rapport 2017 sur la compétitivité des voyages et du tourisme du Forum économique mondial répertorie les arrivées de touristes internationaux à 8 903 773, avec des recettes touristiques entrantes calculées à 8 234,7 millions de dollars américains, ou 924,9 dollars américains dépensés pour moyenne par arrivée. Cela équivaut à 9 339,9 millions de dollars US du PIB et 702 824 emplois dans l’industrie du tourisme. Le rapport sur la compétitivité classe les pays en fonction de leurs performances sur une variété de scores, notamment : l’ouverture internationale ; priorisation des voyages et du tourisme; Sûreté et sécurité; compétitivité des prix; infrastructures de transport aérien; infrastructures terrestres et portuaires ; infrastructures de services touristiques et ressources culturelles, entre autres. L’Afrique du Sud a obtenu la 53e place sur 136 dans le rapport mondial 2017, passant de 4,1 en 2015 à une note globale de 4,0 sur une échelle de 1 à 7. Selon le rapport, l’Afrique du Sud a amélioré la compétitivité des prix en réduisant les prix des billets et des hôtels, mais s’est détériorée en termes de sûreté, de sécurité et de durabilité environnementale. La déforestation, la perte d’habitat et le manque de soutien du gouvernement au secteur ont entraîné un score inférieur.

Un facteur majeur contribuant à la pauvreté et à la criminalité dans les pays africains provient du chômage, avec la Le taux de chômage en Afrique du Sud a atteint 27,7 pour cent au premier trimestre de 2017. Un marché touristique en croissance crée sans aucun doute des emplois et il est maintenant plus important que jamais pour la collaboration des secteurs public et privé de favoriser le tourisme durable, la participation communautaire , formation professionnelle, commerce intra-africain et ouverture des visas. L’Union africaine a récemment lancé le passeport de l’UA, un passeport panafricain unifié permettant la circulation sans visa des touristes nationaux dans les 54 pays membres de l’UA. L’initiative prévoit de déployer la distribution du passeport électronique d’ici l’année à venir et il est optimiste que cela stimulera le tourisme local en Afrique du Sud.

Pour développer le secteur du tourisme et rester compétitif à l’échelle mondiale, il devrait y avoir un recentrage sur les projets de développement durable, non seulement sous la forme d’éco-lodges respectueux de l’environnement, mais aussi d’efforts d’écotourisme visant les voyageurs d’aventure avec un objectif, tout en communautés édifiantes. Éco-voyage promeut le tourisme responsable dans le but de conserver les zones naturelles, de minimiser l’impact du tourisme et de soutenir le bien-être des communautés locales. Les expériences pratiques d’éco-tours ont développé la tendance des voyageurs bénévoles, ou « voyageurs bénévoles » à « travailler » dans un établissement et à avoir la possibilité de s’impliquer dans divers efforts de conservation. La réserve de chasse de Shamwari, dans le Cap oriental, a lancé un programme appelé « L’expérience de conservation de Shamwari », offrant aux voyageurs en quête d’aventure une « opportunité unique dans la vie » d’acquérir une expérience pratique de la conservation de la faune et du travail communautaire.

De l’Amérique aux USA

Suivant la tendance de la culture américaine à mettre en valeur l’histoire des individus aux États-Unis, une réunion a été préparée pour parler de l’histoire du mouvement vers l’ouest, c’est-à-dire le peuplement par les Européens des terres situées à l’intérieur des frontières continentales des États-Unis, une procédure qui a commencé peu après que les premiers établissements coloniaux aient été reconnus le long de la côte atlantique. Les premiers colons anglais du Nouveau Monde sont restés près de l’Atlantique, leur ligne de vie pour s’approvisionner en Angleterre. Dans les années 1630, cependant, les colons de la baie du Massachusetts s’enfoncent dans la vallée de la rivière Connecticut. La résistance des Français et des Amérindiens ralentit leur progression vers l’ouest, mais dans les années 1750, les colons du nord des États-Unis occupent la majorité de la Nouvelle-Angleterre. Dans le Sud, les colons arrivés trop tard pour obtenir de bonnes terres dans les marées se déplacent vers l’ouest, dans le Piémont. En 1700, la frontière de la Virginie avait été repoussée aussi loin à l’ouest que la ligne d’automne – le point en amont auquel les rivières se jetant dans l’Atlantique devenaient infranchissables. Certains pionniers ont dépassé la ligne d’automne pour atteindre les Blue Ridge Mountains, mais le flux important dans les régions de l’arrière-pays de la Virginie et de la zone sud des colonies atlantiques s’est déplacé vers le sud plutôt que vers l’ouest. Les Allemands et les Écossais-Irlandais de Pennsylvanie descendent la vallée de Shenandoah, principalement entre 1730 et 1750, pour peupler les régions occidentales de la Virginie et des Carolines. Lors des guerres franco-indiennes, la frontière américaine avait atteint les sommets des Appalaches. La proclamation anglaise de 1763 a mis un terme au mouvement vers l’ouest au niveau des Appalaches, mais le décret a été largement ignoré. Les colons se sont précipités dans l’Ohio, le Tennessee et le Kentucky. Après la Révolution américaine, un déluge d’individus a traversé les montagnes vers les riches régions situées entre les Appalaches et le Mississippi. En 1810, l’Ohio, le Tennessee et le Kentucky étaient passés de l’état sauvage à une région de fermes et de communautés. Malgré ces années de poussée constante vers l’ouest de la population frontalière, ce n’est qu’à l’issue de la bataille de 1812 que le mouvement vers l’ouest s’est transformé en un afflux substantiel de personnes dans la région. En 1830, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest vieillissant – des régions à peine habitées avant la bataille – comptaient suffisamment d’individus pour justifier l’entrée de l’Illinois, de l’Indiana, du Missouri, de l’Alabama et du Mississippi dans l’Union. Tout au long des années 1830 et 40, le flot des pionniers se déverse sans cesse vers l’ouest. Le Michigan, l’Arkansas, le Wisconsin et l’Iowa en ont accueilli un grand nombre. Un certain nombre d’entre eux sont même allés jusqu’à la côte du Pacifique, empruntant la piste de l’Oregon pour se rendre dans les régions du Nord-Ouest du Pacifique. En 1849, de nombreux chercheurs d’argent se précipitent au Canada à la recherche de métaux précieux. Pendant ce temps, les Mormons terminent leur long pèlerinage en Utah.