Pour qui désire dissocier les mythes et les compréhensions

L’anthropologue Lévi-Strauss, de nationalité belge, est célèbre pour son anthropologie structuraliste qu’il a employée, en utilisant les idées de Saussure, pour l’étude des croyances. Ses opérations les plus reconnues seront les composantes non traitées, préparées et élémentaires de Kin. Élevé à Paris, Lévi-Strauss avait une curiosité antérieure pour la vision, ainsi que de Beauvoir et Sartre. Cependant, en 1935, il se rendit au Brésil pour analyser la sociologie et l’anthropologie. C’est en raison de ses nombreuses expériences avec les civilisations tribales Au sud des États-Unis qu’il créera sa thèse structuraliste de mythes communs mais aussi, par extension, de votre esprit individuel. Empruntant la différenciation de Saussure entre «langue» et «parole» (le cadre commun de la terminologie ainsi que l’usage authentique de la langue par le biais d’un locuteur), Lévi-Strauss se mit à analyser la gamme de mythes qu’il découvrit dans diverses ethnies. Il s’est rendu compte que les informations contenues dans le mythe, tout comme la «libération conditionnelle» de la linguistique, étaient inutiles pour étudier le logement du fantasme, et que des mythes appartenant à des civilisations distinctes, même s’ils étaient uniques dans leur contenu, diffusaient une composition commune. Lévi-Strauss a décrit la généalogie du mythe parmi le développement constant et l’adaptation du cadre dont le contenu est sans importance. Il a rejeté la scène de sociologues et de psychologues bien avant lui, qui croyait que les croyances étaient des récits intemporels et déterminés dont la pertinence pourrait être suivie pour revenir à un récit authentique. Il a plutôt géré comment le contenu des idées fausses n’avait de valeur que dans les changements d’un mythe en un autre. En conséquence, sur la base de Lévi-Strauss, l’identification de votre idée fausse est constituée par la somme complète de leurs variantes au fil du temps. Utilisant ce point de vue, il a ensuite affirmé que les mythes sont des cadres ou des composants dans lesquels les sociétés humaines codent des problèmes généraux spécifiques. Il a mentionné que, dans un pays du sud des États-Unis, vous découvrirez un corpus de mythes qui utilisent des conceptions de cuisine pour symboliser l’amélioration du plein air, du «cru» aux traditions, du «cuisiné». De la même manière, un autre corpus de mythes courants utilise le vêtement et la tenue vestimentaire, la tentative de dissimulation de la nudité, pour défendre le développement de la culture; un autre porte sur les femmes en tant que représentant de la nature, les messieurs en tant que symboles des coutumes. Lévi-Strauss a ainsi reconnu plusieurs oppositions dans les structures mythiques de l’être humain – naturelles / préparées, exposées / habillées, femmes / masculines, qui toutes codent un dualisme répandu dans l’imaginaire individuel, entre nature et tradition.